— Je suis presque prêt. Aujourd’hui, j’ai fait tout ce que je peux pour être à l’heure et c’était très dommage que j’aie perdu tout dans une embouteillage.
— Ça, c’est vrai, la situation sur les routes est difficile maintenant. Le carrefour.
— En plus il y a des réparations partout et dans notre quartier surtout. C’est difficile.
— Hier, comme vous me demandez d’habitude comment ça va, hier… pas hier, avant-hier, j’ai discuté avec ma femme, donc j’étais seul et je pouvais faire tout ce que je voulais.
— Oui, j’ai vu. Je l’ai apprécié.
— J’ai passé tout le week-end au bureau en faisant les devoirs, en préparant le dictionnaire avec les mots de notre thème lexique. Ç’a pris à peu près trois ans (heures ?), pour préparer juste trois pages avec cinq thèmes, et je dois dire que si ne pas faire comme ça, on n’apprendra rien.
— Nous ne recevons rien, nous n’aurons rien. Le verbe avoir au futur. Pourquoi ?
— Parce qu’il seulement semble que ce soit assez de lire et de prononcer des mots pour les mémoriser. Mais quand tu commence à réviser, tu réalises de ne rien connaître.
— C’est bien, donc, j’ai bien compris. On va faire des dictés. Il faut les répéter, répéter, répéter. J’ai compris ? D’accord.
— Il faut y consacrer beaucoup plus de temps que je faisais avant.
— D’accord, je vous ai compris. Ça veut dire que après chaque thème je vais vous interroger pour répéter les mots.
— Oui, ça marche.
— On peut aussi traduire du russe en français et écrire des dictés par exemple.
— Écrire des dictés… c’est fort.
— Oui, parce que ça aide à mémoriser. Et pas seulement la prononciation mais aussi ce que vous écrivez. Donc, si vous n’êtes pas contre, je peux vous interroger sur le thème qu’on a appris la dernière fois. Interroger. Vous connaissez peut-être le point d’interrogation. Je réalise que vous n’avez pas appris par coeur ces mots, je réalise que…
— J’ai les ai répétés parce que j’ai dû les écrire, les taper. Je les ai reconnu avec une logiciel. J’ai pris le livre en pdf. Il y a beaucoup de logiciels qui peuvent reconnaître le texte. J’ai pu juste copier coller.
— Alors. Je vous dis un mot en russe et vous le traduisez en français, si vous pouvez.
— Être amoureux de ...
excitation - возбуждение
Exciter - возбуждать
inciter -вовлекать, притягивать
Pierre fait connaissance avec Marianne. Ils s’embrassent, ils échangent des baisers. Le mot baiser ne s’utilise pas comme un verbe parce que ça a une connotation sexuelle maintenant. Mais donner un baiser et échanger un baisser, c’est bon. Un baiser comme un nom.
Pierre et Marianne s’aiment.
Si vous dites déjà «se», il ne faut pas ajouter «l’un l’autre». On peut dire «aimer l’un l’autre » ou «s’aimer», mais pas les deux.
Pierre demande Marianne en mariage - просит Марианну в жены (без предлога)
demander à quelqu’un - просить у кого-то, appeler quelqu’un, téléphoner à quelqu’un. Parler à / donner à.
Le verbe « se rencontrer, rencontrer », c’est pour la première fois ou bien par occasion. c’est par hasard. Se voir - встречаться (видеться).
voyage de noces - свадебное путешествие. Ils s’entendent bien - они хорошо ладят. La lune de miel - медовый месяц.
éprouver les sentiments - испытывать (переживать) чувства
la coutume - обычай
Французский язык с удовольствием | # 7 лет, 3 месяца назад |
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