— Je suis prêt.
— Très bien. Maintenant, je vais finir la procédure. Ce que je suis en train de prendre des billets pour aller chez ma mère.
— Je viens d'acheter… de louer une voiture.
— De quoi ? Pardon, de...?
— Je viens de louer une voiture.
— Ah, oui, ça c'est bon.
—… à Prague. Pour deux jours.
— Très bien. Vous allez à Prague ?
— Oui. Je suis dans un agiotage à cause de cet événement. Événement ?
— C'est bon, c'est bon. Il y a parfois…
— Il ressemble à un adverbe. En plus, dans la langue anglaise c'est exactement « évent ».
— Bah, oui, vraiment, mais vous savez, il y a des noms : paiement, logement qui finissent en « -ment ». Ça existe quand même. Bon, alors, quoi de neuf dans la vie ?
— Comme j'ai dit, nous venons de remettre notre arbre de Noël. Trois boîtes, trois grandes boîtes avec des jouets.
— Félicitations ! Bon. Quoi d'autre ?
— Demain, on va à République Tchèque à Prague et aussi à… Bohémien Paradis. C'est une place, une grande place au Sud ?
— Au Nord.
—… au Nord de République Tchèque. Avec des montagnes… je ne sais pas exactement comment elle s'appelle… J'ai oublié…
— Les roches ?
— Les roches, je pense que les roches.
— Et quel est le but de votre voyage ? C'est pour les affaires ou c'est pour vous reposer ?
— C'est mes vacances et c'est tout.
— Vous y allez avec votre femme ?
— Oui.
— À deux.
— Nous sommes deux…
— Vous êtes prêt ? Ça c'est mieux ?
—… par exemple…
— C'est bon ?
— Oui, j'espère.
— Vous vous souvenez, la dernière fois nous avons lu un texte avec des conseils pour le travail, pour l'interview, pour l'entretien d'embauche. Voilà, donc, vous en souvenez.
— Oui.
— Est-ce que vous vous souvenez comment est-ce que nous pouvons donner des conseils ? Analysez s'il vous plaît le texte de point de vue de grammaire. De quelle façon est-ce qu'on peut donner des conseils.
— Toutes les phrases sont dans la forme Impérative. Ayez, regardez, soyez…
— Alors, comment est-ce que vous formez l'impératif d'habitude ?... À l'exception.
— À l'exception de trois ou quatre mots, c'est prononcé juste comme d'habitude. Mais autant que je comprenne, il faut écrire un petit peu différemment.
— Donc, si vous avez le verbe « parler », quelles sont trois formes d'impératif ?
— Oui, parce que je ne peux pas…
— Alors, lesquelles ?
— Tu parles, nous parlons, vous parlez.
— Oui, c'est ça le présent. Et à l'impératif, vous dites ? Vous ne dites pas « Tu parles ! ». Vous dites « Parle ! ». Et pour ce que vous écrivez. Si vous dites « tu parles », vous écrivez « s » à la fin. Mais à l'impératif pour les verbes du premier groupe, vous n'écrivez pas « s ». Pour les verbes du premier groupe et le verbe « aller ». Donc. Pour les verbes qui finissent en « -er ». Parle ! Va !
— Et d'habitude « tu vas » avec « s » ?
— Oui, c'est vrai. Donc, « parle ». Encore deux formes ?
— Parle. Parlons. Parlez.
— Oui, c'est bon.
— Et c'est comme d'habitude ?
— Oui, ça c'est comme d'habitude. Mais n'oubliez pas que si vous avez des petites particules comme « en » et « y », vous ajoutez « s ». « Vas-y ! » ou « Parles-en ! ». Pour faciliter la prononciation.
— Parles-en !
— Ça c'est clair. Bon. Et quels sont les verbes d'exception. Et les verbes qui changent le radical pour l'impératif ?
— Soyons. (Sois ! Soyons ! Soyez !)
— Donc, le verbe « être », le verbe « avoir » …
— Ayons… et… (Aie ! Ayons ! Ayez !)
— C'est quel verbe ? Le verbe « vouloir ». Vous connaissez la phrase « Veuillez patienter s'il vous plaît. » Donc, le verbe « vouloir » peut s'employer en l’impératif en français… C'est pas important, oui, mais… (Veuille ! Veuillons ! Veuillez !) C'est pour construire des phrases polies. Voilà. Et vous avez encore un verbe « sache » (Sache ! Sachons ! Sachez !) … Oui, bien sûr que ce ne sont pas les verbes les plus utilisés. Donc. D'habitude ce sont des phrases comme… Est-ce-que vous avez ici les verbes avoir, être en impératif ?
— Ayez l'esprit de mots-clés. Soyez attentif.
— C'est bon. Est-ce que vous avez des autres possibilités d'exprimer les conseils ? Lesquelles ? Est-ce que vous avez des autres possibilités de conseiller ? Avec impératif, oui, qqch d'autres ?
— Il y a beaucoup de « si ». Si le recruter…
— Donc, les phrases avec « si ». Oui. Quel temps est-ce que vous utilisez après « si » dans cette situation ?
—… Aussi l'impératif.
— Oui, mais pas après « si ». Dans la deuxième partie de la phrase oui, c'est l'impératif, et dans la première, après « si », vous utilisez…
— Ah ! Il faut utiliser le présent.
— C'est naturel pour vous ? Oui ? N'est-ce pas ? Donc. Pas de problème. Je vous propose de vous entraîner avec le numéro quatre et construire les phrases avec « si ». Oui, numéro quatre. (AE 2, Cahier,p.20)
— Formulez les conseils. Utilisez si + présent, impératif ou si + présent, futur. Exemple : si le recruteur vous pose des questions personnelles, répondez poliment que cela ne concerne pas l'emploi.
1. Si vous ne connaissez personne dans votre immeuble, allez à la fête des voisins.
— Conjuguez bien le verbe « connaître » ! Tu connais, vous connaissez !
— Ayez…
— Mais non ! C'est le verbe « aller » !
— Pardon…
— Ce n'est pas une exposition.
— Allez à la fête des voisins ?
— Oui, oui, tout simplement.
— D'habitude « aller » c'est aussi…
— Mais pas dans ce cas-là.
2. Si vous voulez faire la meilleure expression de vous au recruteur, tenez-vous droit.
— Vous comprenez ça ?
— Non.
— Se tenir droit. Regardez-moi, je me tiens droit maintenant… C'est absolument correct, donc vous vous souvenez qu’avec des verbes pronominaux vous dites : tiens-toi, tenez-vous, tenons-nous. Oui ? Donc, vous répétez…
— Comme moi… comment j'ai dit…
— C'est correct, tenez-vous, comme c'est un verbe pronominal, il y a encore « vous ». Tenez-vous, tiens-toi, tenons-nous. C'est comme ça, oui ?
— Donc, et moi, j'ai dit quoi ?
— Vous avez dit correctement, vous avez dit « tenez-vous ». C'est bon. Et dans la forme négative, vous dites… Ça change.
— Ne vous tenez pas, ne te tienS pas, ne nous tenons pas.
— C'est bon. Faites attention ! Comme c'est un verbe du troisième groupe, j'écris « s ». Ne te tienS pas. Ici « s » reste. C'est bon, d'accord. Continuez s'il vous plaît.
3. Si vous aimez la nature et voulez rencontrer des gens, inscrivez-vous dans un club de randonnée.
— Qu'est-ce que c'est « randonnée » ?
— C'est une promenade sportive dans la forêt. Oui, inscrivez-vous, oui, c'est bon.
4. Soyez prudent quand vous passez des annonces de rencontre sur Internet.
— D'accord, c'est pas avec « si » mais quand même c'est bon.
5. Si vous vous préparez à l’entretien, sachez comment répondre aux questions difficiles.
— Attention, c'est le verbe « savoir ».
— Sachez.
6. Si le recruteur voit votre intérêt et votre motivation, il pose des questions sur le poste et la société. (Si vous posez des questions sur le poste et la société, le recruteur verra votre intérêt et votre motivation).
— Oui, c'est possible. Seulement « il voit ». Oui, ça c'est bon. D'accord. Ok. Alors. Pour donner un conseil vous utilisez l'impératif, les phrases avec « si » et encore, si vous utilisez par exemple les expressions comme « il faut », « il est nécessaire », « il est important » …
— Il faut utiliser le Subjonctif ?
— Si vous avez « que », oui. Il faut que…, il est important que… Si vous n'avez pas « que », vous pouvez utiliser…
— Le présent ?
— Oui, tout simplement l'infinitif. Il faut faire ça, ça, ça ou ça. Si vous avez encore une personne dans votre phrase : « Il faut que vous… », « Il faut que tu… », « Il faut qu’il »… Alors, est-ce que vous vous souvenez de la formation de Subjonctif ?
— Il se prononce comme le présent avec -e/-es/-e et les formes plurielles, comme L'Imparfait, pour « nous » et « vous ».
— Donc, c'est L'Imparfait pour « nous » et « vous », c'est bon, pour les autres formes ?
— Pour les autres formes… pour les verbes réguliers ça se prononce comme… la forme Présent.
— Quelle forme du présent ? Absolument identique ? Comme des formes de présent ?
— Oui, que tu parles, qu'il parle…
— D'accord. Si c'est un verbe du premier groupe…
— Oui, oui, mais j'ai dit…
—… c'est la même chose…
—… que ce sont les verbes réguliers.
— Oui, c'est bien, c'est régulier, mais pas seulement les verbes du premier groupe sont réguliers, il y a en a d'autres. Bon, alors, si vous conjuguez le verbe « parler » au Subjonctif. Qu'est-ce que vous…
— Que tu parles, qu'il parle, que je parle, que nous parlions, que vous parliez, qu'ils parlent.
— Très bien, d'accord. Si c'est un verbe « prendre » par exemple. C'est un verbe régulier pour le Subjonctif.
— Prendre ?
— Oui.
— Que je prenne…
— Voilà ! Pourquoi cette forme ?
— Quel régulier ? Que je prenne, que tu prennes, qu'il prenne, que nous prenions, que vous preniez, qu'ils prennent.
— Voilà ! Et pourquoi c'est comme ça ? C'est pas une exposition ! C'est selon la règle.
— C'est règle mais le verbe… pas normal.
— Régulier / irrégulier. Donc, pour la formes du Subjonctif ? Vous vous souvenez de la forme du présent de ce verbe à la troisième personne du pluriel.
- Oui, oui, oui.
— Et vous ajoutez les terminaisons -e/-es/-e/ et ici vous avez L’Imparfait : -ions /-iez/-ent. C'est bon ? C'est ce que vous vouliez dire ?
— Je sais la règle, je connais la règle mais je ne peux pas conjuguer… Donc il y a quelques verbes comme « prenne » …
— Et les autres, par exemple les verbes du deuxième groupe ? Oui ? Le verbe « finir ». Comment est-ce que vous le conjuguez dans le Subjonctif.
— Que je finisse, que tu finisses, qu'il finisse, que nous finissions, que vous finissiez, qu'ils finissent.
— Oui, c'est bon. Et quels verbes irréguliers connaissez-vous ? Pour le Subjonctif ? Dans la forme absolument différente ?
— Sept… six verbes.
— Alors, lesquels ?
— Être, avoir, aller, savoir… J'ai oublié peut-être quelques verbes modaux…
— Regardez s'il vous plaît pour répéter. Ce que vous les avez trouvés ? Les verbes avec des formes particulières. ( ПК грамматика, с.274). Donc, c'est par là : « Cas particuliers » numéro deux : « Les verbes suivants ont des formes particulières »
—… faire / savoir / pouvoir / falloir / valoir… pardon… qu'est-ce que c'est particulier ?... Alors ?
— Si, bien sûr. Vous avez ça aussi… Ce sont des verbes qui sont toujours exceptions sont par là. C'est une question pas à moi.
— Mais faire et savoir sont toujours exceptions aussi…
— Oui, mais d'accord. Vous pouvez réorganiser cette information dans votre cahier comme vous voulez. Oui ? Donc, alors. Être, avoir, faire, savoir, pouvoir, falloir, valoir, aller, vouloir. Neuf verbes. Les autres, les verbes : venir, prendre, devoir, recevoir (boire, mourir) changent selon la règle de la troisième personne du pluriel. Oui ? Donc, vous prenez : ils prennent, ils doivent, ils reçoivent, ils boivent, ils meurent. Voilà. Et pour nous – vous vous avez la forme de L'Imparfait. Et le radical de L'Imparfait aussi. C'est bon ? C'est clair ?... Fasse / sache / puisse.
—… Les verbes suivants ont « des formes particulières » et « deux radicaux » les verbes « aller et vouloir » ont deux radicaux.
— aille / allions ; veuille / voulions ; faire / fasse.
— Que j'aille, que tu ailles, qu’il aille… que nous allions…
…
— Oy. Que nous croyions, que nous employions, que nous voyions.
— Bon, alors, regardez s'il vous plaît l'exercice numéro un à la page 275(ПК грамматика). On répète les formes… Allez-y.
— Donnez le présent du Subjonctif des verbes suivants.
— Lever : je lève, tu lèves, il lève, nous levons, vous levez, ils lèvent.
— Oui, avec un accent grave.
— Oui, pour prononcer « è » à la place de « e ». Remplir : je remplis, tu remplis, il remplit, nous remplissons, vous remplissez… que je remplisse, que tu remplisses, qu'il remplisse, que nous remplissions, que vous remplissiez, qu'ils remplissent.
Lire : je lis, tu lis, il lit, nous lisons, vous lisez, ils lisent. Donc. Que je lise, que tu lises, qu'il lise, que nous lisions, que vous lisiez, qu'ils lisent.
— Il vous faut seulement une forme : que je lise.
— Écrire, que j'écrive. Qu'est-ce que c'est se taire ?
— Se taire, c'est antonyme de verbe parler, donc, rester silencieux.
— J'ai compris. Comme je ne sais pas qu'est-ce que c'est, je ne peux pas le conjuguer.
— Si vous connaissez le verbe analogue, c'est pas difficile.
— Par exemple faire…
— Non ! C'est un verbe qui ne va pas. Plaire, par exemple.
— Que je me taise.
— Treize verbes avec « être » au Passé Composé.
— Partir – que je parte / suivre – que je suive / plaire – que je plaise.
— Dire – que tu dises / vendre – que tu vendes / mettre – que tu mettes / que tu traduises / que tu atteignes.
— C'est pas le verbe attendre, c'est le verbe atteindre. Comment conjuguez-vous au Présent ? Tu atteins, ils atteignent.
— Que nous atteignions, que vous atteigniez, qu'ils atteignent. Que tu atteignes.
— Et comment on peut traduire le verbe atteindre ? Éteindre.
— Que je perde, qu'il perde ; courir : je cours, tu cours, il court, nous courrons, vous courrez, ils courent. Donc : que tu coures, qu'il coure ; servir : qu'il serve ; qu'il interrompe ; qu'il batte ; qu'il suffise.
— Que nous réfléchissions ; que nous découvrions ; que nous construisions ; que nous consentions ; que nous priions ; que nous employions.
— Que vous sortiez ; que vous paraissiez (ressembler à ; rappeler ; faire semblant) ; que vous riiez ; que vous étudiiez ; que vous croyiez.
— qu'ils plaignent ; qu'ils produisent ; qu'ils retiennent ; qu'ils accueillent.
— C'est bon ? Quand j'ai commencé à mes cours avec répétiteur par exemple, on avait une théorie de Subjonctif, on expliquait cela et après je faisais des exercices…
— Beaucoup - beaucoup ?
— Beaucoup - beaucoup. Chaque devoir j'avais… je sais pas … j'écrivais à peu près dix – vingt pages d'exercices du cahier. Comme je me préparais pour les olympiades et je devais le faire très, très, très vite. Voilà pourquoi j'avais toujours…
— Vous avez passé des olympiades ?
— Donc. Oui, j'ai participé aux olympiades mais comme j'avais pas beaucoup de temps pour me préparer… j'ai gagné dans quelques une, mais après j'ai raté. J'ai eu la quatrième place au lieu de la troisième parce que seulement trois premières places pour passer à votre niveau. Et voilà, c'était très positif pour moi parce que je me suis dit que si je gagne l'olympiade, comme j'habitais à ce moment-là en Biélorussie, j'irais dans université en Biélorussie sans examens. Mais comme j'ai raté mon olympiade, j'ai décidé d'entrer dans l'université à Saint-Pétersbourg pour me récompenser mon échec. J'en suis très ravie. Voilà ! Bon, alors, c’est une question d'entraînement, c'est tout. Voilà pourquoi à la maison je vous propose de vous entraîner et de faire numéro deux pour répéter tout ça avec les verbes irréguliers… Il faut que tu fasses le ménage. Il faut faire le ménage.
— Ay ! Toi ! Il faut faire le ménage !
— Voilà, si vous voulez, on peut éviter le Subjonctif. Mais je dis toujours que le Subjonctif c'est le temps d'aristocrates. Et si vous êtes une personne éduquée vous l'utilisez. Vous l'utilisez souvent. Et la première chose, la chose importante, c'est que vous devez le comprendre dans le discours. Voilà pourquoi vous devez savoir au minimum, vous devez savoir les formes pour comprendre ce qu'on dit. C'est votre première tâche et déjà le deuxième - l'utiliser.
— Les Français mêmes n'aiment pas le Subjonctif.
— Bien sûr, parce que c'est difficile. Personne n'aime les difficultés. Mais quand même, si vous utilisez le Subjonctif vous montrez votre niveau d'éducation. Et les gens le comprennent très bien.
Французский язык с удовольствием | # 7 лет, 1 месяц назад (изменено 2 месяца, 3 недели назад) |
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