— Ça y est ?
— Ça y est.
— Ça y est. Toc toc toc, bonjour, on y va ?
— Bonjour, on y va.
— Nous commençons et on commence, il faut articuler. Ce n'est pas mon cas. D'accord, comment ça va aujourd'hui ?
— Ça va assez bien, pas mal.
— Ça va très mal aujourd'hui parce que premièrement je suis en retard, c'est ma tradition.
— Oui, oui, je sais. Vous avez raison. Je le sais, vous avez raison.
— Pourquoi vous êtes en retard ?
— Parce que j'ai lu toute la nuit votre auteur préféré.
— Qui s'appelle ?
— J'ai oublié comment il s'appelle. J'ai lu, j'ai commencé à lire une pièce qui s'appelle « l'hôtel des deux mondes ».
— C'était très facile.
— C'était très... pas très, mais assez...
— C'était assez facile.
— C'était assez facile parce que la langue est facile, et parlée, moderne.
— Pourquoi parlée ?
— La langue est moderne, parlée, facile mais le sens est difficile. Au début, au début, c'est philosophique.
— C'est pourquoi j'ai compris tous les mots, chaque mot, mais je n'ai pas compris...
— J'ai compris chaque mot, tous les mots, « mot par mot » mais je n'ai pas compris le sens, mais je n'ai rien compris.
— Je n'ai rien vu, je n'ai plus vu. Je n'ai rien vu, je n'ai jamais vu.
— Rien, plus, jamais, personne, nulle part.
— Je n'ai rien vu, je n'ai jamais vu, je n'ai plus vu. Je n'ai vu personne. Je ne suis parti, je ne suis allé nulle part.
— Je n'ai pas compris. Je n'ai rien compris au niveau du sens philosophique parce que j'ai juste commencé.
— Oh, c'est banal.
— Parce que c'est le commencement, le début, c'est seulement le début. Parce que ce n'est que le début. Ce n'est que le début.
— Ce n'est que le début, c'est pourquoi je continuerai à lire, je lirai, je le ferai, il faudra lire jusqu'à la fin.
— J'aurai, je ferai, je serai, j'irai, je verrai et j'enverrai, je saurai. Il faudra, il pleuvra, j'enverrai, j'obtiendrai, je tiendrai, je viendrai, je reviendrai, je deviendrai, je soutiendrai.
— Je voudrai, je pourrai, je saurai, je devrai, je recevrai, je m'assiérai et je cueillerai.
— Ça va très mal parce que premièrement j'étais effrayé, (j'ai eu peur), j'avais peur.
— J'étais ...
Французский язык с удовольствием | # 7 лет, 3 месяца назад |
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Начните писать к этому уроку свой конспект! Сделайте пометку: «для Народного конспекта» — и мы перенесем сюда и закрепим вашу запись. А то просто комментируйте и задавайте вопросы. Bienvenue à toutes et à tous ! :) |
Дремучий | # 1 год, 1 месяц назад |
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Ещё после коротких слов, заканчивающихся гласным звуком: et (и), ou (или), où (где), si (если). Например:
Да, оказывается, с l’un/l’une дело обстоит сложнее*. Если un – артикль или числительное, то его нельзя заменять на l’un. Поэтому нужно сперва определить роль un/une в предложении: а) неопределённый артикль; Если после un следует существительное, то un – это числительное или артикль; в противном случае (например, предлог de) – местоимение. А уж дальше – по обстоятельствам. Следует отметить, что употребление l’un/l’on в большинстве случаев не является обязательным. Исключение составляют устойчивые выражения. * Источники:
Получается, с точки зрения языковых норм, предложение
является некорректным. Жаль. Для моих ушей этот вариант более благозвучен. Мы — забытые следы чьей-то глубины… |